Quand on n’a pas d’eau…. On a des idées !
L’idée n’est pas longue à germer. Hop ! une bassine, 2 arrosoirs et des petits récipients.
Les petites gouttes les remplissent en quelques quatre heures… comme le biberon de bébé !
Après, tout ce n’est qu’une question de motivation… quelle satisfaction d’arroser abondamment nos plans de tomates très fatigués de lutter pour survivre dans les bacs asséchés.
Maintenant la végétation luit de bonheur. Il n’y a pas à douter, quand le thermomètre frise la quarantaine et que nos yeux captent des images d’eau et de fraîcheur, le corps s’en trouve rafraîchi : c’est la « psychologie visuelle » !
Quand on n’a pas (encore) d’eau pour le jardin partagé… on a des idées !
Chouette un orage.
Patauger dans l’eau ? un rêve d’enfant … mais « pas que » !
Les nids de poule se remplissent vite. Ils deviennent presque des mares…
Il suffit d’un petit grain de folie…
(très contagieux).
Une pensée pour la fleur qui fane ou le plant de potiron jaunissant pendant les semaines sèches
Et l’idée de récupérer cette manne tombée du ciel s’impose !
Hop on met les bottes… ou des sandales amphibies, on attrape quelques seaux, les voisins arrivent, les petits bras remplissent les récipients, les gros bras s’occupent du transport vers le jardin partagé.
Quelle satisfaction de voir la cuve remplie à ras-bord !
Le soleil est revenu.
A quand la prochaine pluie ?
Edithe